Le médecin du travail, par son rôle de clinicien préventeur au sein de l’entreprise, devrait être en mesure de dépister les formes d’organisation du travail génératrices d’isolement et diagnostiquer en amont les symptômes laissant craindre l’émergence d’une décompensation psychologique chez un ou plusieurs salariés. Il doit alors alerter les préventeurs de l’entreprise, employeur, CSE, afin qu’une prise en charge collective de la question puisse être menée dans l’entreprise.
La mise au placard dans les entreprises concernerait 200.000 salariés et coûterait 10 milliards d’euros par an
Une étude de l’Institut Montaigne publiée le 21 octobre appelle à « lever les tabous » sur les...